La dette technique est une idée lumineuse de Ward Cunningham en 1992, qui a comparé le développement logiciel à un prêt bancaire.
Sauf que les intérêts, c'est du code bancal difficile à maintenir, des bugs récalcitrants, et des délais qu'on ne maîtrise plus.
Votre projet ressemble à une longue partie de Whac-A-Mole : vous corrigez un bug, deux autres surgissent et ça finit par rattraper l'équipe, qui s'épuise à éteindre des incendies au lieu d'innover.